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Alohomora part de vacances de Noël, et reprendra le 8 janvier 2025.
Pour rappel, la newsletter va passer sous la marque The Staffing Academy. Si tu veux en savoir plus sur les raisons du changement de nom de la newsletter, tout est expliqué dans l’édition de la semaine dernière :
Ce que tu vas trouver dans cette édition :
Les actus qu’il ne fallait pas louper la semaine dernière
Comprendre le phénomène du Jobsharing, le partage d’un emploi entre plusieurs salariés.
Les levées de fonds des entreprises françaises
Des entreprises à cibler pour tes plans de chasse
Avant de commencer…
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L’actualité de la semaine dernière
📊 Economie
La BCE (Banque centrale européenne) baisse son taux directeur à 3 %, soit une réduction de 25 points de base.
L'inflation accélère un peu aux États-Unis avec une hausse de 2,7 % en novembre, contre 2,6 % en octobre.
Le Nasdaq franchit la barre symbolique des 20 000 points, avec une hausse de 1,8 %.
Le succès de Novo Nordisk bouleverse l'économie danoise tout autant qu’il la booste. Le géant pharmaceutique, devenu l'entreprise la plus valorisée d'Europe grâce à ses médicaments contre l’obésité et le diabète, a généré la moitié de la croissance du PIB danois (2,5%) en 2023.
Les ventes de courses en ligne ont décollé aux États-Unis atteignant 9,6 milliards de dollars en novembre, soit une hausse de 17,8 % sur un an. 77,8 millions de foyers américains font désormais leurs courses en ligne.
Une nouvelle étude révèle qu'il y a 362 millions de créateurs de contenu dans le monde. L'Inde domine avec 137 millions de créateurs, suivie par l'Indonésie (47 millions), le Brésil (40 millions) et les États-Unis (39 millions).
La Bourse de Londres traverse une crise majeure : avec seulement 1 milliard de dollars levés en IPO (entrées en bourse) cette année, elle chute à la 20e place mondiale, dépassée par des bien plus petites places de marché comme Oman ou le Luxembourg.
🤝 Business
Grammarly s'apprête à acquérir Coda, une startup spécialisée dans les outils collaboratifs.
TikTok Shop cartonne aux États-Unis avec 45 % des Américains interrogés (3000) qui disent y avoir déjà fait des achats, dépassant ainsi SHEIN et Sephora selon une nouvelle étude de Coefficient Capital et The New Consumer.
Honda et Nissan seraient en train de discuter d’une potentielle fusion selon le Nikkei.
SpaceX a atteint une valorisation record de 350 milliards de dollars.
Waymo, le service de robotaxis d’Alphabet, fait trembler Lyft à San Francisco atteint 22 % de parts de marché en seulement 15 mois, égalant Lyft, tandis qu'Uber conserve 55 %.
Amazon se lance dans la vente de voitures avec Amazon Autos, permettant d'acheter des Hyundai dans 48 villes américaines (donc Atlanta, LA et NYC).
💎 Produit
Apple préparerait plusieurs innovations pour 2028 : un appareil pliable de la taille de deux iPad Pro, une refonte de la Magic Mouse, et un AirTag nouvelle génération avec une portée triplée.
YouTube domine toujours chez les ados américains : 73 % l'utilisent quotidiennement, suivi par TikTok (57 %) et Instagram (50 %).
Threads, le concurrent de X (Twitter) par Meta, affiche une belle croissance avec 100 millions d'utilisateurs quotidiens et 300 millions d'utilisateurs mensuels.
🪙 Crypto
Le Bitcoin atteint un nouveau record historique à 106 493 dollars, en hausse de 3 %.
MicroStrategy continue d’accumuler des bitcoins en masse en achetant 15 350 BTC supplémentaires pour 1,5 milliard de dollars. L'entreprise détient maintenant 439 000 BTC (2,1 % de l'offre totale) d'une valeur de plus de 45 milliards de dollars.
30 % des employés américains seraient ouverts à recevoir leur salaire en crypto, dont 72 % préférant le bitcoin. Sans surprise, la Gen Z mène la danse avec 39 % d'intéressés, contre seulement 15 % des Baby Boomers.
🤖 IA
Klarna, la fintech de paiements fractionnés, affirme avoir réduit ses effectifs de 20% grâce à l'utilisation de ChatGPT dans ses systèmes internes.
Sources : Les Echos, Le Monde, TechCrunch, Cercomm, Usine Digitale, Snowball, Multeam, Maddyness
Des ressources magiques pour bien recruter
Dans un contexte où les entreprises rivalisent pour attirer et retenir les meilleurs talents, le jobsharing émerge comme une solution innovante et efficace. Ce modèle de travail propose le co-exercice d'une fonction, à temps partiel ou à temps plein, entre deux collaborateurs qui partagent les tâches, les responsabilités et les objectifs du poste.
Plus qu’une simple répartition des heures, le jobsharing repose sur une collaboration en co-responsabilité, et co-leadership (pour des postes de managers), entre deux professionnels formant un binôme. Ce modèle, adaptable et flexible, répond aux attentes des talents tout en renforçant les performances des équipes.
Pour les recruteurs, les managers et les responsables RH, cette pratique représente une opportunité unique d’allier attractivité, fidélisation et productivité.
Explorons les avantages, les risques potentiels et les bénéfices attendus pour tous les acteurs impliqués.
Les avantages du Jobsharing pour attirer et fidéliser les talents
Côté candidats : flexibilité et développement professionnel
Conciliation vie pro/vie perso : Le jobsharing permet aux collaborateurs de bénéficier d'une charge de travail allégée (lorsqu'il s'agit d'un temps partiel) tout en occupant des postes à forte responsabilité, idéal pour ceux en quête de flexibilité.
Complémentarité des compétences : Les talents voient dans le jobsharing une opportunité d’apprendre aux côtés d’un binôme, renforçant leur expertise et élargissant leur champ d’action.
Évolution professionnelle : Le jobsharing ouvre des postes stratégiques à des profils variés, y compris ceux qui auraient pu les juger inaccessibles faute de temps. Il permet également de conserver une évolution et un parcours de carrière tout en prenant du temps pour d'autres activités.
Côté recruteurs : un atout différenciant
Attirer des profils diversifiés : Ce modèle attire des talents ayant des aspirations spécifiques, comme des jeunes parents, des freelances souhaitant une stabilité partielle, des salariés aidants ou en reconversion.
Améliorer la marque employeur : Proposer une organisation de travail moderne et inclusive renforce l’image de l’entreprise auprès des candidats.
Renforcer l'intergénérationnel : assurer la transmission des compétences critiques avec un duo senior-junior, améliorer l'employabilité des seniors, aménagement des fins de carrière.
Réduire les absences : Deux personnes pour un poste signifient une continuité des missions, même en cas de congé ou d’imprévu.
Economies : Ce mode de travail permet de réduire les coûts d'intégration et de formation à l'embauche, notamment lorsque l'un des deux est déjà salarié.
Une flexibilité contractuelle : salarié, prestataire ou .... les 2 !
Le jobsharing s’adapte non seulement aux profils et aux besoins des talents, mais aussi aux cadres contractuels variés. Contrairement aux idées reçues, ce modèle n’est pas limité aux salariés classiques. Il peut prendre des formes multiples, offrant une grande flexibilité aux entreprises :
Salarié / Salarié : Le scénario classique, où deux salariés à temps partiel (ou à temps plein) exercent en co-responsabilité. Ce cadre est particulièrement adapté pour les talents recherchant un équilibre entre vie professionnelle et personnelle, tout en poursuivant l'évolution de leur carrière.
Salarié / Prestataire : Une option hybride où un salarié collabore avec un prestataire ou freelance. Cela permet à l’entreprise de bénéficier d’une expertise pointue et ponctuelle, tout en offrant une stabilité grâce au salarié permanent. De plus, cela permet une montée en compétences sur-mesure du salarié en place de la part d'un expert externe.
Prestataire / Prestataire : Deux freelances ou prestataires partagent le poste, offrant à l’entreprise une grande agilité et la possibilité de moduler les interventions selon les besoins. Cette configuration est idéale pour des projets nécessitant des expertises très spécialisées.
Les risques potentiels, comment les anticiper ?
Comme toute approche innovante, le jobsharing peut comporter certains défis :
Manque d’alignement : Si le duo ne partage pas une vision commune ou ne s’accorde pas sur les méthodes de travail, des tensions peuvent émerger. Il ne faut pas non plus qu'ils aient un ego sur-dimensionné !
Solution : Accompagner la mise en place en instaurant une phase de cadrage claire dès la formation du binôme, avec des objectifs, des rôles et des responsabilités bien définis.
Difficultés managériales : Le manager peut craindre un alourdissement de la charge de coordination.
Solution : Investir dans des outils de communication et de suivi adaptés, et organiser des points réguliers pour éviter les incompréhensions.
Acceptation par l’équipe : Certains collaborateurs peuvent percevoir le jobsharing comme une inégalité ou une complexité inutile.
Solution : Communiquer sur les bénéfices pour l’ensemble du collectif et favoriser une intégration harmonieuse du duo.
Les bénéfices attendus pour tous
Pour le duo en jobsharing
Engagement accru : La flexibilité et la complémentarité renforcent leur motivation et leur satisfaction professionnelle.
Qualité du travail : À deux, les collaborateurs apportent une double expertise et se soutiennent mutuellement, réduisant ainsi les erreurs.
Équilibre et bien-être : Une meilleure gestion des horaires se traduit par une énergie renouvelée, une charge mentale diminuée et une productivité accrue.
Soutien mutuel : Ne plus se sentir seul sur son job et trouver un soutien dans son quotidien
Pour le manager
Accès à des talents exceptionnels : Des candidats qui privilégieraient un poste moins contraignant peuvent désormais postuler.
Réduction des risques : La présence de deux collaborateurs sur un poste clé diminue les risques d’interruption de service.
Performance optimisée et gain de temps : La diversité des perspectives dans le duo favorise des décisions plus réfléchies et innovantes et permet de libérer du temps au manager qui sera moins sollicité par le duo.
Sécurisation des compétences : Être 2 sur un même poste permet de sécuriser les compétences
Pour l’équipe managée
Disponibilité accrue : Le binôme assure une couverture renforcée sur le poste, évitant les "zones de creux".
Inspiration et collaboration : Le modèle peut inspirer d’autres initiatives collaboratives au sein de l’équipe.
Pour l’entreprise
Réduction du turnover : Les talents attirés par le jobsharing sont souvent plus fidèles à une entreprise qui soutient leur bien-être.
Augmentation de la productivité : Deux esprits motivés, bien organisés, offrent une dynamique plus forte qu’un poste occupé par une seule personne, ce qui a un effet de halo positif sur les équipes également.
Innovation culturelle : En adoptant des modèles de travail flexibles, l’entreprise se positionne comme précurseur dans l’évolution des organisations.
Baisse de l'absentéisme : diminution des burn-out et des absences pour maladie
Un exemple concret de Jobsharing : Florence Pawlowski et Thomas Blondel
L’expérience du co-leadership (ou double management)
Le jobsharing prend tout son sens lorsque deux managers partagent non seulement un poste, mais également la responsabilité d’une équipe. C’est précisément l’expérience qu’ont vécue Florence Pawlowski et Thomas Blondel chez Beiersdorf (NIVEA), en Allemagne, en mettant en œuvre le jobsharing dans un cadre de double management - un véritable co-leadership.
"Lorsque nous avons mis en place le jobsharing en tant que managers, je craignais qu'il y ait un manque de clarté pour notre équipe. Pourtant, avec mon jobpartner, nous avons rapidement trouvé notre rythme. La clé ? La communication constante et la confiance." – Florence Pawlowski
Une complémentarité gagnante
Florence et son binôme, Thomas, avaient des compétences et des styles de travail complémentaires :
Florence : Pragmatique et orientée sur les aspects opérationnels.
Son jobpartner, Thomas : Plus stratégique et visionnaire.
Cette combinaison leur a permis de co-construire une vision globale et équilibrée, offrant à leur équipe une double perspective et des solutions enrichies.
"Nos collaborateurs ont apprécié ce modèle, car ils avaient deux points de vue différents et pouvaient s'adresser à l'un ou l'autre en fonction de la situation."
Un défi d’alignement permanent
Pour éviter la confusion dans les décisions ou la gestion, Florence et son binôme ont dû maintenir un alignement constant. Cet effort demandait :
Une coordination rigoureuse, avec des échanges réguliers pour rester sur la même longueur d’onde.
Une confiance mutuelle, essentielle pour gérer ensemble des situations complexes et parler d’une seule voix.
Malgré l’effort supplémentaire que cela impliquait, Florence souligne que cette expérience a été bénéfique pour eux deux, pour leur équipe et pour l’entreprise.
Les bénéfices pour l’équipe et l’organisation :
Une vision stratégique plus riche, nourrie par deux approches complémentaires.
Une meilleure proximité managériale, avec deux interlocuteurs disponibles et à l’écoute.
Une gestion plus collaborative et agile des situations complexes.
Et si vous tentiez l’expérience ?
Le jobsharing n’est pas qu’une tendance : c’est un véritable levier stratégique pour attirer, fidéliser et engager les talents d’aujourd’hui et de demain. En investissant dans ce modèle, les entreprises gagnent en agilité tout en répondant aux attentes croissantes de flexibilité des collaborateurs. Déjà 25% à 30% des entreprises le pratiquent aux USA, Allemagne, Suisse et Angleterre !
Alors, prêt à recruter en duo et à révolutionner vos pratiques RH ?
Pour en savoir plus ou explorer comment intégrer le jobsharing dans votre organisation, n’hésitez pas à nous contacter !
À propos de nous : Worksharing, cabinet spécialisé dans le jobsharing, dédié à l'accompagnement des entreprises dans la mise en œuvre de cette nouvelle organisation du travail.
Léna Basile est une experte en ressources humaines et en coaching, forte de plus de 15 ans d'expérience en tant que Directrice des Ressources Humaines, aujourd'hui, elle exerce comme DRH à temps partagé. En parallèle, Léna est fondatrice de Méta4Human et œuvre en tant que coach, consultante et formatrice, se spécialisant dans l'accompagnement des équipes et des dirigeants sur des thématiques d'engagement et de performance au travail. Léna Basile est également la co-fondatrice de Worksharing, une entreprise pionnière du jobsharing en France.
Page entreprise WorkSharing
Page personnelle Léna
Page entreprise Méta4Human / page linkedin
Si tu aimes Alohomora, tu aimeras sans doute…
Un média de recrutement que j’ai créé, sur lequel chacun peut prendre la parole pour partager son savoir-faire et apprendre de ses pairs.
Ce que tu trouveras sur The Staffing Academy :
Des articles rédigés par des experts
Des guides méthodologiques
Des vidéos avec les meilleurs recruteurs
Si ça t’intéresse de jeter un coup d’œil :
L’analyse des levées de fonds en France
Synthèse
Une semaine qui représente l’année écoulée, les indicateurs flèchent tous parfaitement dans la moyenne, aussi bien en valeur qu’en volume.
L’an dernier, l’énorme levée de Mistral AI (385 M€) avait sauvé le mois de décembre. Ce n’est pas le cas en 2024, et malheureusement l’écart qui s’est creusé à la rentrée de septembre ne sera pas rattrapé.
Cette semaine
141 M€ levés par les startups françaises la semaine dernière
13 opérations réalisées
vs 490 M€ l’an dernier à la même période
Montant moyen par opération : 10,8 M€
En 2024
Montant hebdo global (moyenne) : 143,6 M€
Nombre d’opérations hebdo (moyenne) : 12,6
Montant moyen par opération : 10,9 M€
Ecart vs 2023 : -1.6 Md€
Le montant total levé en 2024 devrait donc se situer vers 7.5 Md€, en chute libre pour la troisième année consécutive (-15% par rapport à 2023).
Si on voit le bon côté des choses, les montants levées en 2024 restent très supérieurs à leurs équivalents d’avant-covid, signe d’un écosystème qui a gagné en résilience et en maturité.
Il reste à espérer que 2025 sera un millésime qui renoue avec la croissance, malgré un contexte économique difficile.
Toutes les opérations
AQEMIA (Biotech) : 36,2M€
BSPORT (Sport tech) : 30M€
BIOMEMORY ( Data storage) : 17M€
ION-X (Space tech) : 13M€
DEEPLIFE (Biotech) : 9,5M€
UPTALE (VR/RH Tech) : 9M€
SYROCO (Transport/Cleantech) : 7,5M€
BITSTACK (Fintech) : 5M€
ERS (Cleantech) : 5M€
DASHBOOK (Edition) : 3M€
YAMPA (Customer support/AI) : 3M€
ANOD (Mobilité) : 1,7M€
ARTIFEEL (Smart home) : 1,2M€
Actualités
Arkéa Capital, filiale de capital-investissement du Crédit Mutuel Arkéa, annonce le closing de son fonds à impact We Positive Invest 2, à 70 millions d’euros.
Databricks réalise une levée de fonds historique de 10 milliards de dollars auprès d'a16z et d'autres investisseurs, valorisant l'entreprise à 62 milliards de dollars. La startup affiche un chiffre d'affaires impressionnant de 2,6 milliards de dollars.
L'edtech (les startups dans le domaine de l’éducation) traverse une période difficile avec un financement mondial qui s'effondre à 2,9 milliards de dollars en 2024, soit -87 % par rapport au pic de 2021. Le nombre de deals chute aussi, passant de 659 à 469 en un an.
Les ventes de courses en ligne ont décollé aux États-Unis atteignant 9,6 milliards de dollars en novembre, soit une hausse de 17,8 % sur un an. 77,8 millions de foyers américains font désormais leurs courses en ligne.
Sources : Maddyness, Avolta, Multeam, Pitchbook, Snowball
La liste des rachats d’entreprises et des plans de licenciement
Dualsun, créateur d'un panneau solaire hybride, annonce le rachat de Meteoptim, une technologie d’intelligence artificielle capable d’optimiser la gestion des ballons solaires à partir des prévisions météos et des habitudes de consommation.
Artefact, l’un des leaders mondiaux du conseil en data science et intelligence artificielle (IA), annonce l’acquisition de Brain Food, cabinet de conseil chilien en forte croissance spécialisé dans les services liés à la data, l’analytics et l’IA.
Sources : Maddyness, Avolta, Multeam