Hello 👋
J’espère que vous allez bien et que vos pipelines sont fournis en candidats de qualité.
Dans le recrutement, le premier trimestre est souvent un trimestre intense et décisif dans la performance annuelle. C’est le moment d’être intense dans sa pratique et de mettre l’année sur de bons rails !
Le choix d’un ATS adapté à votre activité est aussi primordial pour réaliser vos objectifs en 2025.
À ce propos, vous êtes beaucoup à me poser des questions sur The Staffing App, le projet d’ATS sur lequel on travaille depuis des mois chez The Staffing Company.
C’est vrai que pour le moment, nous n’avons pas énormément communiqué dessus, et ça aiguise votre curiosité !
Pour l’instant, nous préférons échanger avec la communauté et travailler avec passion pour créer le meilleur logiciel de recrutement. Bientôt, on aura de chouettes annonces à vous faire, c’est promis !
Vu les retours des utilisateurs de la beta, on dirait que nous sommes bien partis pour secouer le petit monde des ATS en 2025 🙃
Pour les plus impatients, sachez que nous déployons de nouvelles fonctionnalités cette semaine et à cette occasion…
On ouvre 10 nouvelles places sur la beta privée de The Staffing App 🎟️
Les personnes éligibles à la beta privée:
Recruteurs indépendants
Recruteurs en cabinets de recrutement
dont le canal principal est l’approche directe
à la recherche d’un nouvel outil pour accélérer leur activité
Si vous correspondez à ce profil, vous pouvez demander à rejoindre le programme et avoir accès à l'outil avant tout le monde.
Il vous suffit de réserver un créneau ici pour échanger avec moi.
Premier arrivé, premier servi.
Pour les autres, il faudra attendre qu’on ouvre de nouvelles places sur la beta.
Ceci dit, revenons aux actualités du monde du recrutement.
Au programme de cette édition :
Les actualités qu’il ne fallait pas louper la semaine dernière
Comment utiliser l’actionnariat salarié comme un puissant outil de recrutement (partie 2)
Notre sélection des meilleurs postes de recruteurs
Les levées de fonds en France
Avant de commencer…
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🔎 Actualités
Que s’est-il passé la semaine dernière ?
Économie
La confiance des consommateurs français chute à son plus bas niveau depuis un an en décembre. L'indice est tombé à 89 points, reflétant l'impact de la crise politique et budgétaire.
Record historique pour le CAC 40 qui a versé près de 100 milliards d'euros à ses actionnaires en 2024. Les dividendes ont grimpé de 8,5 % à 72,8 milliards d'euros, tandis que les rachats d'actions ont baissé de 15 %. TotalEnergies mène la danse avec 14,5 milliards reversés, suivi par LVMH et Stellantis.
Les incendies en Californie causent des dégâts catastrophiques, avec au moins 5 morts et plus de 100 000 évacués. Les dommages économiques sont estimés à plus de 50 milliards de dollars selon AccuWeather.
Les syndicats américains sont en guerre contre l'automatisation. Alors que de plus en plus d'entreprises se tournent vers la robotique, 70 % des 12 millions de travailleurs représentés par l'AFL-CIO craignent d'être remplacés. Les experts prédisent que les robots humanoïdes coûteront moins de 10 $/heure avant 2035, et moins de 0,10 $/heure d'ici 2045, rendant inévitable une transformation massive du marché du travail.
Les faillites d'entreprises américaines ont atteint leur plus haut niveau depuis 14 ans avec 686 dépôts en 2024 (+8 % vs 2023). Le précédent record datait de 2010 avec 828 faillites. Au moins 30 entreprises avec plus d'1 milliard de dollars de dettes ont fait faillite l'année dernière.
La Chine prévoit d'investir massivement dans la blockchain d'ici 2029, avec un plan d'infrastructure nationale estimé à 272,7 milliards de dollars sur cinq ans.
Le débat sur le télétravail s'intensifie : alors que Spotify maintient sa politique de travail à distance en déclarant que "ses employés ne sont pas des enfants", JPMorgan, la plus grosse banque américaine, prépare un retour au bureau 5 jours par semaine.
L'économie russe post-invasion montre des signes d'essoufflement après avoir été boostée par son économie de guerre. La combinaison de taux d'intérêt record et d'une inflation persistante menace la croissance, et la banque centrale prévoit un ralentissement drastique à 0,5% en 2025.
Business
Des rumeurs circulent sur un possible rachat de Versace par Prada.
OpenAI se lance dans la robotique en créant une nouvelle division. L'entreprise derrière ChatGPT recrute activement pour développer des robots polyvalents. Pendant ce temps, Tesla ambitionne de commercialiser ses robots humanoïdes dès l'année prochaine.
Johnson & Johnson pourrait racheter Intra-Cellular Therapies, une biotech spécialisée dans les troubles du système nerveux valorisée à 10 milliards de dollars.
L’entrée en bourse de Shein, le géant chinois de la fast fashion, devrait avoir lieu avant le milieu de l’année.
Meta teste l'intégration des annonces eBay directement sur Facebook Marketplace en Allemagne, France et États-Unis. Cette initiative intervient après une amende de 798 millions d'euros infligée par l'UE pour abus de position dominante. L'action eBay a bondi de près de 10 % suite à cette annonce.
Crypto
Une étude révèle que 68% des vidéos crypto sur TikTok contiennent des informations trompeuses. Le chiffre monte à 96% pour les vidéos sur les memecoins, qui promettent souvent des rendements irréalistes.
La Banque Nationale Tchèque envisage d'inclure le bitcoin dans sa stratégie de réserve nationale.
IA
Selon une nouvelle étude, jusqu'à 200 000 postes pourraient disparaître dans les banques mondiales d'ici 3 à 5 ans, l'IA étant capable de reprendre de nombreuses tâches actuellement effectuées par des humains.
Anthropic, le concurrent d'OpenAI créé par d'anciens dirigeants de la boîte, est en discussion avancée pour lever 2 milliards de dollars (valorisation de 60 milliards). Pour rappel, la startup, soutenue par Amazon, est derrière le LLM Claude.
Nvidia annonce le lancement de son super-ordinateur IA personnel "Digits" à 3000 $ ! Présenté au CES, il peut gérer des modèles d'IA jusqu'à 200 milliards de paramètres et dispose de 128 Go de mémoire unifiée.
Sources : Les Echos, Le Monde, TechCrunch, Cercomm, Usine Digitale, Snowball, Multeam, Maddyness
🎓 L’Academie
Des ressources exclusives pour mieux recruter
Attirer et retenir les meilleurs talents est un défi de tous les jours pour les entreprises. Pour grandir, il faut réussir à bien s’entourer ! L’actionnariat salarié, en permettant aux employés de devenir actionnaires, agit comme un véritable “aimant à talents”.
Mais concrètement, comment on fait pour en parler aux concernés, et mesurer que cela marche ?
La semaine dernière, nous avons expliqué comment fonctionnent ces dispositifs :
Dans cet article, découvrons l’impact réel de ce type de politique sur l’attractivité et la rétention de talents au sein des entreprises.
L’actionnariat salarié : est-ce que ça marche ?
Votre actionnariat salarié est en place, mais est-ce pour autant un véritable aimant à talents ?
Quand on prend un peu de hauteur, il est frappant de constater que l’actionnariat salarié peut représenter jusqu’à 20 % du capital dans certaines entreprises. Mis bout à bout, les différents plans d’actionnariat salarié occupent une place significative dans la structure du capital. Ouvrir son capital représente un acte fort de la part des actionnaires (et des dirigeants) envers les employés. C’est un investissement considérable sur le papier, mais est-ce que cela apporte les effets escomptés ?
Car pour attirer et retenir des talents, il faut se démarquer. Il existe évidemment pour cela déjà de nombreux moyens que vous déployez peut-être : un salaire au-dessus de la moyenne, des avantages en nature conséquents, des primes, une bonne mutuelle prise en charge à 100%, une semaine de travail de 4 jours... Tous ces avantages salariés contribuent déjà à séduire vos (futurs) talents.
L’actionnariat salarié est un autre avantage unique, avec ses propres qualités, listées ci-dessous. Voyons ensemble comment vous pouvez mesurer l’impact direct de la mise en place des BSPCE vis à vis de ces objectifs.
Pour éviter des mesures approximatives, il faut suivre uniquement des critères propres aux BSPCE.
Suivre l’évolution du temps de rétention des employés suite à la mise en place de BSPCE n’a pas de sens. En effet, de nombreux autres critères influent sur le temps de rétention (management toxique, évolution de la taille de l’entreprise, dynamique de marché, .. ).
Il est impossible de valider formellement que les BSPCE ont un impact direct sur l’évolution de ce temps de rétention. Il en va de même avec d’autres critères.
Pourquoi mettre ne place des BSPCE ?
1. Aligner les intérêts des employés et des actionnaires
Pour cela, vérifiez que les BSPCE motivent les employés à s’impliquer dans la croissance de l’entreprise.
Voici ce que vous pouvez mesurer :
Nombre de demande d’exercice des BSPCE
Taux d’exercice des BSPCE distribué
2. Fidéliser sur le long terme les employés
Suivez la rétention des collaborateurs bénéficiaires de BSPCE pour déterminer leur impact sur l’engagement à long terme.
Notez d’abord qu’il est normal de voir de temps à autre des collaborateurs quitter votre entreprise.
Par ailleurs, l’intérêt des employés pour les BSPCE est uniquement financier. C’est donc un avantage qui est de plus en plus intéressant financièrement à mesure que l’employé reste et que l’entreprise se développe.
Voici donc ce que vous pouvez mesurer directement :
Nombre de demandes à avoir plus de BSPCE
Le nombre de choix à préférer des BSPCE plutôt qu’une prime de fin d’année
Guide pour les équipes RH : les points à aborder et meilleures pratiques pour présenter cet avantage
3. Offrir une alternative aux augmentations, sans impact sur la trésorerie
Évaluez les économies réalisées en utilisant les BSPCE en substitution partielle de primes ou d’augmentations immédiates.
Voici ce que vous pouvez mesurer :
Le montant des augmentations de salaires non proposées, et des primes non versées, remplacées par des BSPCE
Montant récupéré par l’entreprise via les exercices de BSPCE des employés (les employés payent à l’entreprise le prix d’exercice des BSPCE, parfois cela vaut des années de salaires)
4. Promouvoir la culture de l’actionnariat et de l’esprit entrepreneurial
Évaluez la perception de vos employés de devenir des co-actionnaire de l’entreprise.
Voici ce que vous pouvez mesurer :
Le eNPS lié à la réception de BSPCE (via enquête)
Vous remarquez donc que le succès de l’actionnariat salarié (ici illustré avec les BSPCE) se joue sur de nombreux facteurs à la main des équipes RH et du dirigeant. C’est cet avantage collaborateur qui aura le plus d’impact sur la vie de vos employés.
Seuls quelques entreprises y accordent le temps nécessaire, et mesure l’impact réel. Pourtant, c’est le secret bien gardé des entreprises qui ont du succès et des collaborateurs fidèles.
Bien utilisé, cet aimant à talents vous entourera des meilleurs.
Co-fondateur Futurz
Retrouvez tous nos contenus exclusifs sur The Staffing Academy, le média des recruteurs.
🔥 Ils recrutent
Notre sélection des meilleurs postes pour la suite de ta carrière
Head of TA
🏢 Back Market
📌 Paris
Senior Tech TA Specialist
🏢 Back Market
📌 Paris
TA Specialist
🏢 OVHCloud
📌 Paris
TA Specialist
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📌 Paris
Tech TA Manager
🏢 Lucca
📌 Paris - Nantes - Marseille
💶 Levées de fonds
L’analyse des levées de fonds en France
Synthèse de la semaine
Un début d’année timide sans aucune opération sur la première semaine, et douze seulement sur la seconde, pour 60 M€ au total. Pour comparer, c’était 367 M€ en 2023 et 123 M€ en 2024 au même stade.
Evidement, on retrouve des secteurs attractifs en tête des opérations : Biotech, Cyber, et Medtech complètent le top 3.
Cette semaine
Montant total levé : 60 M€
Nombre d’opérations : 12
Montant moyen par opération : 5 M€
En 2024
Montant total levé : 60 M€
Montant hebdo global (moyenne) : 30 M€
Nombre d’opérations hebdo (moyenne) : 5
Montant moyen par opération : 5 M€
Ecart vs 2023 : -63 M€
Toutes les opérations
COAVE THERAPEUTICS (Biotech) : 32M€
BFOREAI (Cybersécurité) : 9M€
MOVEUP (Medtech) : 8M€
CYGO ENTREPRENEURS (Startup studio/Cybersécurité) : 5M€
SPAREKA (DIY) : 2,5M€
AERONDE (Aero) : 1,7M€
DEEPHAWK (Industech/IA) : 1M€
KAI (IA) : 600K€
IMMOBLADE (Proptech) : 550K€
TOPLOC (Travel tech) : 450K€
JULIENNE (Food) : NC
OWNEAT (Foodtech) : NC
Actualités mondiales
Les startups US ont levé 209 milliards de dollars en 2024, en hausse de 33 % par rapport à 2023. L'IA s'est taillé la part du lion avec 97 milliards levés, un record historique. En revanche, les VCs n'ont levé que 76,1 milliards, leur plus bas niveau depuis 2019.
Whatnot, l'application de live shopping américaine, lève 265 millions de dollars pour une valorisation de 5 milliards de dollars.
Anthropic, le concurrent d'OpenAI créé par d'anciens dirigeants de la boîte, est en discussion avancée pour lever 2 milliards de dollars (valorisation de 60 milliards). Pour rappel, la startup, soutenue par Amazon, est derrière le LLM Claude.
Sources : Maddyness, Avolta, Multeam, Pitchbook, Snowball